18 août 2009

Un geste de solidarité de la présidence suédoise

Platier 18 août
La libération de Clotilde Reiss qu’on espère définitive bien qu’elle soit assignée à résidence à l’ambassade en attendant les décisions, qu’on n’ose appeler jugement, de la Justice iranienne est la conséquence de diverses interventions suscitées par la diplomatie française dont celle de la Syrie, dont l’évolution est intéressante depuis que le fils a succédé au père. Peut-être n’a-t-on pas remarqué une déclaration de la présidence suédoise affirmant qu’une injustice commise à l’encontre du ressortissant d’un quelconque pays de l’UE affectait l’Union elle-même et tous ses Etats membres. Certes cela va de soi mais il est significatif, à la veille du référendum irlandais, que ce principe ait été rappelé par un pays qui se voulait et s’affirmait traditionnellement neutre. Autrement dit, dans l’UE, la neutralité ne peut faire obstacle à la solidarité.

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